Jeudi, une attaque au couteau s’est retournée dans la ville de Nanta.
Vers 12 h 30, sur le territoire des collègues, les élèves ont poignardé quatre compagnons, entraînant la mort d’un lycéen et gravement blessé dans les trois autres.
Le criminel a été accusé, rapidement contrôlé par l’enseignant, a été arrêté. Ceci n’est pas considéré comme compatible avec la police pour des raisons mentales, elle a été hospitalisée.
Le choc est énorme.
Le président Emmanuel Macron est satisfait du courage du personnel éducatif et exprimant son soutien aux familles. Le ministre Alisabeth Borne a déclaré que la victime était inquiète.
Les envahisseurs, décrits par des étudiants instables et fascinés par l’idéologie néo-nazi, ont envoyé une déclaration alarmante juste avant l’attaque. Le film gère une fois de plus un débat sur la sécurité des écoles et l’augmentation des jeunes violences.
Le Premier ministre François -Bair a appelé à un “collectif de départ” face à cette violence “endémique” et a demandé des propositions spécifiques dans les quatre semaines. La France, comme d’autres pays européens, est confrontée à l’alarme: des armes blanches de transformation ordinaires chez les jeunes.
