
Il est là. Toujours là. Suspendu au tronc dégradé de la République. Il ne chute pas.
Ça ne sert à rien. Il émane une fragrance de moisissure, de manigancespolitiques, d’opportunisme habilléen costume. Joseph Lambert, le fossoyeur principal d’une démocratie déjà enétatcritique, revient invariablement avec ses anciennesstratégies de tacticien.
Mais c’est fini. Nous avons regardé le cirque, nous connaissonsbien le spectacle. LIRE LA SUITE SUR REZONODWES